Les jeunes Français font face à plusieurs bouleversements tout au long de leur vie estudiantine. L’intégration à une unité d’aide sociale et médicale en fait partie. En temps normal, il peut relever d’un vrai parcours du combattant de s’inscrire à l’établissement dédié. Mais avec les changements récemment apportés, la sécurité sociale étudiante n’a plus lieu d’être.

L'année 2019 apporte bien des changements au niveau du domaine de l'éducation. Dans un premier temps, la clôture des activités de l'application Parcoursup fait l'objet d'une grande nouvelle dans le secteur. Par surcroît, la disparition de cet intervenant principal s'accompagne de l'exécution des services des Caisses primaires d'assurance maladie (CPAM) au profit des concernés.
En effet, ces agences remplacent les prestations sociales de base pour le cas des futurs universitaires. Auparavant, l'accès aux soins destinés à ces derniers a été automatiquement effectué à travers la plateforme susmentionnée. Puisque celle-ci a cessé d'exister, la pratique a changé pour laisser la place à un processus beaucoup plus fluide.
L'insertion à la vie étudiante est simplifiée
La CPAM se joint aux acteurs principaux qui interagissent autour de l'évolution des étudiants dans le département de Loir-et-Cher. En effet, la Sécu détache ces derniers de ses responsabilités. Ce n'est pas la première fois que les caisses primaires accueillent de nouvelles catégories de profil au sein de leur communauté. Par ailleurs, les départements concernés apportent quelques mots d'explication à ce sujet :
« En juin 2018, nous avons intégré les assurés de la Mutuelle générale soit environ 3 500 personnes, la MFP Services contractuels en novembre 2018 et les fonctionnaires en mars 2019 environ 22 000 personnes et enfin pour le RSI environ 22 000 également ».
De par cette position, il est clair que cet établissement connaisse tous les avantages dont les cibles en question peuvent bénéficier. Le plus imposant concerne l'économie permise par cette nouvelle intégration. En effet, la cotisation s'élevant à 217 euros est effacée de leur budget.
Tous les échanges se font désormais à travers un compte Ameli associée à l'Assurance maladie. Néanmoins, la souscription à une mutuelle étudiante n'est pas pour autant supprimée du tableau puisque la CPAM ne remplace que les mesures obligatoires.
À part cela, les salariés de la couverture sociale rattachée au gouvernement ne sont pas défavorisés par ce bouleversement. Le personnel connaît effectivement une mutation d'employeur.
L'intervention du Parcoursup n'est plus effective
Ce n'est pas uniquement la Sécurité sociale qui s'est éloignée de ceux qui vont entrer à l'université. Manifestement, Parcoursup a déjà fini sa dernière phase au service de ces derniers. À l'heure qu'il est, tous les adhérents devraient avoir terminé toutes les démarches d'insertion à leurs prochaines formations.
Il faut dire que les jeunes ont eu quelques difficultés à s'en sortir avec le peu de temps qu'ils ont eu. En tout cas, ceux dont le nom se trouvait dans la liste d'attente ont été les plus défavorisés. Le fait est qu'une grande partie des cursus est déjà complète. Ce qui ne laisse pas beaucoup de choix pour ces futurs étudiants.
Pour suppléer aux conséquences de cette décision, Parcoursup se réserve le droit d'avancer de nouvelles propositions à ceux qui sont répertoriés dans ce sens dès qu'une place est disponible suite à un éventuel désengagement.