Le large champ d’action d’Internet fait partie de son plus grand atout. Il fait ses preuves auprès de tous les domaines dans lesquels il intervient. C’est le cas, entre autres, de la complémentaire santé et des produits financiers. Les clients, tant jeunes que d’âge avancé, se ruent vers des modèles plus accessibles. Et il faut dire qu’il n’y a rien de mieux qu’un procédé numérique pour répondre à ce besoin.

Les propositions disponibles en ligne en matière d'assurance ne datent pas d'hier. Mais les consommateurs affichent des réactions différentes à cet égard. L'offre étant composé de différentes sortes de services, le niveau d'utilisation du Net change d'une situation à une autre.
A priori, les jeunes s'intéressent davantage à ces pratiques. Toujours est-il que les autres ne sont pas en reste. Selon des études portées sur l'habitude des bénéficiaires d'assurance, l'exploitation des prestations en ligne commence depuis les étapes préalables à la souscription et s'étend tout au long de la durée de vie du contrat. La nature des usages est très diversifiée. Ce qui justifie entre autres la disparité de l'intérêt des utilisateurs sur toute l'étendue de la collaboration.
Le digital intervient en amont et en aval
Les supports numériques ont une place considérable au niveau du marché de l'assurance. Pour preuve, les résultats du projet d'étude mené par Next Content affichent un taux de consommation de 79% sur 1 012 clients du secteur. Cet indicateur a progressé par rapport à 2017 en sachant que les enquêtes ont été menées au cours de l'année dernière.
Les usagers sont fortement composés d'adultes de moins de 35 ans, qui occupent 85% de place contre 70% pour les clients ayant plus de 64 ans. Ce canal regorge de plusieurs possibilités qui s'étalent en amont et en aval de l'activité.
Les services de gestion sont majoritaires. C'est-à-dire que les clients continuent à bénéficier des atouts de l'internet même étant déjà souscrits à une offre. Cela signifie que l'utilisation n'est pas limitée au niveau des recherches.
À ce sujet, les souscriptions des deux dernières années sont minoritairement faites en ligne. Cependant, une tendance non négligeable du digital est relevée au niveau des premiers pas de la procédure. Pour les 43% qui forment les nouveaux adhérents, une grande partie de leurs actions a été réalisée depuis le Web. Ce, à partir de la mise en place de la demande en elle-même jusqu'à la signature du contrat, en passant par l'envoi des documents requis.
Les applications mobiles sont en vogue
Pour rester en contact avec les clients, les professionnels du marché mettent en place divers instruments et supports de communication. Dans ce sens, l'email est incontournable. Il en est de même pour les plateformes de commercialisation des prestations. Par ailleurs, une mutuelle pas cher peut être dénichée sur ce genre d'espace électronique.
Mais en sus, les applications mobiles sont, aujourd'hui, très plébiscitées aussi bien par les fournisseurs que les consommateurs. 29% des enquêtés dans le cadre de l'étude ont affirmé avoir téléchargé un outil sur le Net dans le but de bénéficier des avantages liés au domaine.
Une panoplie de possibilités s'offre aux usagers, notamment la demande de devis qui constitue la majeure partie des utilisations. Ensuite vient le recours à la déclaration de sinistre qui est suivi de près par le rapport d'accident. En sus, les programmes lancés depuis une autoroute électronique permettent facilement d'accéder à certains documents importants.
Il faut dire que les acteurs agissant dans le Web ont une grande opportunité à exploiter étant donné que 65% des sujets sont prêts à miser sur les activités exercées sur la Toile.