D’année en année, de nouveaux souscripteurs à un contrat d’assurance se joignent au tableau. Si la communauté paraît s’élargir continuellement, la relation n’est pas pour autant parfaite. Des différends résultent des activités de 2018. Cela ne présage rien de bon pour le secteur à moins que celui-ci se remette sur la bonne voie.

Les consommateurs prennent à cœur les défauts de services au niveau de leur contrat d’assurance

À la fin des activités de l'année dernière, le premier compte rendu est proclamé pour le marché de l'assurance. Les clients se montrent beaucoup plus suggestifs quant à l'expression de leurs plaintes. En conséquence, le nombre de dossiers de réclamations traités par l'arbitre du secteur témoigne une hausse.

La progression de cet indicatif n'augure rien de bon tant pour les services d'assurance de biens que pour ceux de personnes vis-à-vis desquels les consommateurs soulignent quelques imperfections pénalisantes. Information que le Médiateur dédié ne manque pas de partager sur le marché.

Par ailleurs, cet acteur est apprécié pour son rôle d'intermédiaire entre les deux parties sans avoir recours à un élément juridique.

La mesure judiciaire perd de l'ampleur

Le secteur de l'assurance n'est pas dépourvu de contestations, notamment entre les compagnies pourvoyeuses de couverture et leur clientèle. C'est au Médiateur de l'assurance de reporter les chiffres relatifs au sujet.


Depuis que ce genre d'acteur a su combler l'ensemble du marché, l'analyse de la satisfaction des citoyens devient plus concrète.

En effet, c'est par une publication récente des doléances que tout un chacun est à même de prendre sa part de responsabilité vis-à-vis de celui-ci. Et ce, sans forcément recourir à un acte judiciaire.

Pour l'année 2018, les litiges sont en augmentation de 13%. L'ensemble des plaintes se répartissent entre divers services dont les plus prépondérants concernent l'absence de rémunération. Un taux accusateur de 32% correspond à cette catégorie par rapport à la totalité. Tandis que 7% des consommateurs manifestent une omission partielle d'indemnités.

En outre, la qualité du feed-back aux requêtes et revendications exprimées par les clients laisse quelque peu à désirer au point de représenter 27% des réclamations totales. Pendant que 12% des problèmes se rapportent aux contraintes liées à la résiliation du contrat.

Du point de vue des assureurs, ce concept est un outil permettant de réajuster les offres en misant sur les lacunes révélées. Toujours est-il que tous les établissements n'empruntent pas forcément le même chemin.

L'assurance des biens déçoit le public

Ce n'est pas la première fois que l'assurance habitation affiche des réactions négatives de la part du public. Avec les couvertures automobiles, celle-ci accueille plus de la moitié des litiges avec une part de 61% pour les deux contre 46% pour les prises en charge de personnes physiques. Cette hausse des dossiers à traiter, notée en 2018, s'accompagne d'une baisse des saisines de -4,7%.


Cela confirme davantage la place de cette procédure vis-à-vis du point de vue des clients. Dans tous les cas, les entreprises fournissant ce service pourront toujours travailler sur les données publiées par le Médiateur de l'assurance en vue d'améliorer la situation.

Bien que le contrat vie et les couvertures santé présentent les plus faibles taux d'affaires traitées, estimés respectivement à hauteur de 24% et 22%, tout le monde doit faire ses preuves pour dépister l'origine de ces problèmes.