La sécheresse est parfois négligée lors du classement des catastrophes naturelles qui ravagent le plus. Alors que les conséquences de cet incident sont considérablement dommageables. Non seulement les propriétaires en paient le prix fort à cause de la somme monumentale afférente aux rétablissements des dégâts. Mais en outre, les assureurs sont aussi soumis à des charges trop importantes.

Pas moins de 3 000 communes françaises sont enregistrées en état de catastrophe naturelle

Les sinistrés du dessèchement sont de plus en plus nombreux. Le fait est qu'un grand nombre de maisons sont détruites par les fissures engendrées par la forte chaleur. De fait, les bureaux responsables de ce secteur dénombrent des millions de zones impactées. Ce qui mène à plus de quatre millions d'habitations nécessitant des réparations.

Le gouvernement met déjà en œuvre une poignée d'actions permettant d'apporter de l'aide aux victimes. Toutefois, accéder à ces subventions relève d'un véritable parcours du combattant à cause de la lourdeur des démarches administratives y afférentes. Néanmoins, il faut avouer que cette mesure est à même d'alléger les poids financiers supportés par les ayants droit.


Les répercussions se trouvent à plusieurs niveaux

La sécheresse impacte ostensiblement la solidité des logements. Ceux qui sont bâtis sur les sols de type argileux sont beaucoup plus sensibles à cet incident.

Cette roche étant très interactive avec l'humidité, elle subit un phénomène de gonflement en hiver à cause de l'humidité alors que la chaleur agit également sur elle, mais de façon moins favorable. Le fait est que le sol se rétrécit en présence d'une canicule, au point de provoquer des fentes au niveau des infrastructures se trouvant sur les lieux.

En somme, 3 155 communes françaises sont touchées par ce désastre. Ce qui prouve que ce cas mérite tout aussi bien l'attention que l'inondation. D'ailleurs, les dépenses de l'État pour les travaux de restauration sont beaucoup plus importantes dans ce contexte. Elles s'élèvent à 25 500 euros contre 7 500 euros pour l'autre aléa.

Il faut dire que les impacts changent d'intensité selon chaque situation. Dans le meilleur des cas, ils se limitent par la dégradation des performances thermiques de la maison.

Par contre, le pire serait l'effondrement de la construction. Sans compter les dégâts financiers endossés tant par le pouvoir exécutif que par les sociétés pourvoyeuses d'assurance habitation.

L'étendue des couvertures est à vérifier de près

Parmi les précautions à prendre, faire appel à un assureur est sans doute la plus courante, mais également la plus efficace. Néanmoins, les clauses de garanties ne sont pas les mêmes pour tous les établissements. Et cette méthode ne peut être pratique sans les bonnes couvertures.


Dans ce sens, le contrat multirisque est un terme qui n'est pas nouveau pour les adhérents. Celui-ci permet à ces derniers d'être couverts en cas de dommages produits par la sécheresse. Mais cette formule n'est pas toujours proposée.

À part cela, le maire de chaque zone se doit de faire une demande de classement en état de catastrophe naturelle pour que les habitants puissent accéder à l'appui octroyé par l'Autorité. À cet effet, une indemnité de 1 520 euros est fournie aux bénéficiaires si tous les critères sont présents.