Plusieurs enquêtes autour de l’e-cigarette ont été effectuées afin de d’en apprendre davantage sur le secteur. Elles ont révélé que de nos jours, les consommateurs préfèrent vapoter plutôt que d’inhaler la fumée de cigarette qui est connue mondialement pour ses effets néfastes. La cigarette électronique est alors une alternative moins nocive au tabac. Cependant, l’Organisation mondiale de la Santé ne semble pas du même avis.

Les industriels réagissent à l’interdiction de la vape

La contribution de l'Organisation mondiale de la Santé à l'interdiction de la vape a froissé les militants de l'e-cigarette en Europe. Face à cette décision, les fabricants, tout comme les consommateurs reprochent à l'instance internationale de ne pas être consciente de l'efficacité de cet outil dans le sevrage du tabac.

Aujourd'hui, les industriels développent les produits et proposent le confort et le bien-être dans leur utilisation. Dans tous les cas, ils insistent que la vape ne nuit pas à l'organisme et son efficacité est prouvée dans les statistiques. Et pour cause, plusieurs individus ont désormais arrêté définitivement de fumer grâce à la vape. Cela semble bien parti pour réduire le tabagisme dans le monde.

Vapoter pour ne plus fumer

Le recours aux cigarettes électroniques s'est développé en Europe pour réduire la consommation de tabac dans le pays. D'ailleurs, l'Union européenne a publié que le vapotage fait partie des moyens les plus sûrs pour arrêter de fumer dans les pays à grande prévalence tabagique. De récentes études ont également montré les avantages de l'e-cigarette sur la population.


Au cours des analyses, il a été remarqué que la vapoteuse est de loin l'outil le plus efficace par rapport aux patchs nicotiniques. Seulement, 1% des enquêtés apprécient ces derniers contre 92 % des cas qui préfèrent la vape pour se passer de la fumée destructrice de la cigarette. De plus, les fabricants ont soutenu qu'elle n'est pas nocive à la santé et n'expose aucun risque de cancers ni de maladies cardiovasculaires.

Sachant qu'en 2016, l'e-cigarette a permis à un demi-million d'Européens de se sevrer définitivement, ce qui équivaut à 15 % des fumeurs étudiés dont le nombre, aujourd'hui, grimpent à 68%.Il s'agit encore d'une preuve indéniable qui montre l'importance de la vape dans la lutte contre le tabagisme.

En effet, cette solution efficace et moins nocive répond suffisamment aux exigences de la clientèle en la permettant de diminuer progressivement sa dépendance au tabac. En plus, les e-liquides peuvent être modifiés à tout moment suivant l'envie et le goût du consommateur.

L'OMS est contre l'e-cigarette

Sachant qu'à travers un traité, l'organisation mondiale de la santé a engagé plusieurs acteurs dans une lutte contre le tabac, ces derniers s'attendent aujourd'hui à son soutien à l'e-cigarette étant donné son succès dans la réduction le tabagisme. Pourtant à leur surprise, l'OMS leur met actuellement des bâtons dans les roues en utilisant comme argument la nocuité de la vape sur notre santé.


De nombreux experts regrettent cette décision et l'estiment comme un un frein à la diminution des cigarettes dans le monde. Motivés pour sauver des millions de vie, les fabricants sont déçus du comportement de l'OMS et s'interrogent sur sa véritable politique de santé.

En restant sur sa position, l'on se demande si elle va mettre en place des mutuelles santés relatives à la consommation de tabac. Jusqu'à maintenant, plusieurs questions restent sans réponses vu l'indifférence de l'instance internationale devant le combat des vapoteurs.

Néanmoins, les solutions se développent au niveau des industriels et ils ont même trouvé une alternative pour chauffer le tabac sans combustion. Malgré les statistiques qui lui sont favorables, le secteur de la vape devrait redoubler ses efforts pour continuer sur sa lancée et pour ne pas reculer devant les obstacles. Pour rappel, les professionnels appuient que l'utilisation de l'e-cigarette ne présente aucun danger pour les consommateurs.