Étant un pays développé, la Chine se doit d’aller toujours vers l’excellence afin de maintenir le cap. De ce fait, de nouveaux réajustements sont toujours d’actualité. Ces derniers régissent les entreprises. Principalement celles qui se trouvent dans les secteurs stratégiques. À ce sujet, la voiture électrique trouve sa place au sein du marché de Pékin de sorte qu’elle fait l’objet de référence pour tous les acteurs.

Récemment, l'Autorité à Pékin a manifesté son intérêt pour les véhicules à énergie nouvelle (NEV). Dans ce sens, le marché sera plus ouvert aux étrangers tout en préservant la place des entreprises chinoises. Cependant, les conditions ne seront pas faciles. De ce fait, les nouveaux arrivés devront se battre bec et ongles pour être à la hauteur des attentes du gouvernement.
D'une part, les nouvelles réglementations ont pour objectif d'améliorer la production de ces produits stratégiques. Et d'autre part, elles consistent à gérer le secteur, notamment les sites de production de la capitale de Chine.
L'ensemble des réformes dont les acteurs connaissent déjà a été appliqué depuis ce 10 janvier. À chacun de tirer profit de ces changements.
La montée de l'estime des voitures électriques
Pékin est enclin à valoriser la production des NEV. De ce fait, toutes les entreprises industrielles que ce soit chinoises ou étrangères pourront entrer facilement sur le marché. Par contre, les voitures à essence seront moins privilégiées. En fait, cette activité est arrivée à maturité. C'est pourquoi l'État limite le plus possible les investissements dans ce sens au profit d'autres secteurs porteurs.
Dans le but de vulgariser la mise en vente des véhicules électriques, le marché s'ouvre de plus en plus à la concurrence. Ainsi, l'accès est plus simple, du moins pour ce portefeuille d'activité. À noter que les réglementations concernant celui-ci sont les mêmes pour tous les investisseurs, toutes nationalités confondues.
Parmi ces conventions, l'approbation des demandes de licence pour la production revient actuellement aux autorités provinciales et locales au lieu de l'administration centrale.
Une manière de limiter la production
L'apparition de ces nouveaux règlements change la donne pour les autres acteurs tels que le courtier assurance. À partir du moment où l'élaboration des voitures à essence diminue, la demande de service dans ce sens ne croîtra point. À ce moment, le domaine susmentionné s'orientera davantage vers le NEV, tout comme les établissements d'assurance eux-mêmes.
En effet, la mise en valeur des voitures électriques mettra en péril les autres types de produit. Aucune licence ne sera plus délivrée pour qui que ce soit, sauf pour ceux qui se lancent dans la nouvelle affaire. Cependant, il existe tout de même une condition qui s'adresse aux investisseurs avérés. La vente des deux dernières années servira de base pour ces critères.
Ainsi, il est possible de poursuivre l'exploitation des voitures à essence si la vente se trouve à hauteur de 380 millions d'euros ou si le propriétaire a effectué 30 000 mises en route de voitures particulières ou encore 3000 en utilitaires.
Ensuite, les nouvelles demandes d'investissement devront présenter une capacité de production qui atteint les 100 000 voitures particulières par an.
Étant donné le risque de surcapacité du secteur, cette décision est la plus sage. En outre, Pékin n'encourage plus les Startup à créer tant que leur rentabilité ne soit pas jugée au top. Et cela aidera à mieux définir le secteur.