Les maisons d’assurance ainsi que les autres opérateurs proposant des prises en charge médicales acceptent d’améliorer leur offre dans le but de favoriser, du mieux possible, la population française. Ce progrès touchera d’une part le prix et d’autre part le contenu des formules proposées. Pour y arriver, ces entreprises seront contraintes à collaborer avec d’autres entités.

La Fédération française de l’assurance rassure les assurés

Le pouvoir d'achat des familles à revenus modestes est particulièrement sensible aux modifications des systèmes des prestations sociales. Les aides à l'accès aux soins médicaux ne se font pas rares, mais leur effet est nul si tous les acteurs n'avancent pas vers le même objectif.

À ce sujet, la mutualité comme les autres établissements souhaitent apporter des éclaircies face à l'annonce d'une éventuelle hausse des tarifs. D'une part, la santé économique actuelle exige de ces entreprises quelques révisions sur leur plan d'action. Et d'autre part, le contexte social reflétant le niveau de vie de la masse s'ajoute à la situation d'urgence qui doit être cernée.


L'ensemble du secteur va devoir emprunter quelques chemins pour arriver au bout de cette finalité.

Aucune augmentation de tarif

À la fin de l'année dernière, une poignée de mutuelles a annoncé aux adhérents une hausse imminente des prix. Le pouvoir exécutif n'étant pas du même avis a exigé de ces professionnels une rectification immédiate de la situation.

De ce fait, ils assurent que les cotisations ne subiront aucune augmentation bien que la réforme qui a permis la mise en place du 100% santé soit effective. Tous les établissements soumis à la Fédération française de l'assurance (FFA) sont concernés par cette parole. Dans ce sens, toutes les associations existantes ont pour responsabilité d'annoncer le détail de ces changements par voie de recommandation.

Pour que cette annonce ne soit pas que boniment, les concernés avancent une explication ou plutôt une démarche permettant de réaliser cette affirmation. Il s'agit de limiter les frais de gestion qui font partie du tarif global des organismes.

Autre garantie, l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) se charge de vérifier la bonne foi de toutes les entreprises.

D'autres efforts se profilent à l'horizon

Les complémentaires santé ont promis un reversement à l'avantage des 5 millions de personnes qui sont dans l'incapacité d'accéder à des soins médicaux convenables sans l'aide de l'Assurance maladie. Ainsi, la somme dédiée sera répartie sur les contrats de base. Un autre intérêt pour ces foyers, les organismes de la santé manifestent leur inspiration à vouloir privilégier les actions relatives à l'Aide à la complémentaire santé.


Outre les apports financiers, ces professionnels réfléchissent également à l'optimisation du contenu de l'offre en général, et ce, à moyen terme. À cela s'ajoutent les actions permettant d'aboutir, le plus vite possible, à l'exécution du 100% santé.

À ce sujet, le gouvernement représenté par le ministère de la Santé travaille, de près ou de loin, avec eux. Avec cette participation, le reste du secteur espère un résultat satisfaisant dès les premiers mois de l'année.

Également, l'Assurance maladie obligatoire qui s'associe inévitablement avec les complémentaires permet sans aucun doute de faciliter davantage l'accès aux soins. Mais afin d'aller encore plus loin, la fusion des services procurés par l'une et l'autre entité est favorable. De ce fait, les perspectives qui se présentent concernent entre autres les traitements préventifs, l'éducation thérapeutique et bien d'autres encore.